Historia HS 45 – Les Fous du Crime
Janvier 1976
- Edito
- Les Fous du Crime
- La « bête » aux 600 victimes
- Lady Olympia, marchande de cadavres
- L’horrible saga des frères Harpe
- Les résurrectionnistes d’Édimbourg
- L’auberge rouge
- L’empoisonneuse Hélène Jégado
- Jesse James, un féroce « bien-aimé »
- Vacher, le loup-garou à la toque blanche
- Le château des supplices du docteur Holmes
- L’Ogresse de la Goutte d’Or
- Cadavres en conserve
- Le boucher de Hanovre
- Le vampire de Düsseldorf
- Frénétique et tranquille : Bruno Ludke, 49 morts
- La veuve noire
- Profession : dérailleur
- Fish l’anthropophage
- Cinq mois pour faire un monstre
- L’étrangleur de Boston
- Le massacre des infirmières
- Les diaboliques de la lande
- Livres reçus
Points Positifs :
- Le choix de mettre en avant tout un tas d’assassins et autres meurtriers de masse peu connus ou tout simplement tombés dans l’oubli de nos jours – d’ailleurs, c’était déjà le cas à l’époque. Du coup, si on a bien évidement droit à quelques figures habituelles – Joseph Vacher, Erzsébet Báthory, Peter Kürten – on découvre tout un tas d’autres meurtriers qui se sont distingués par leurs crimes au fil des siècles.
- Ce n’est pas que c’était mieux avant mais bon, tout de même… les revues d’autrefois, c’est fou ce qu’elles étaient plus complètes, plus riches. Des articles plus longs, forts instructifs, mouais, ça ne se fait plus depuis longtemps. Alors certes, on à gagner les photos en couleurs mais pour ce qui est du texte, c’est le jour et la nuit !
- Les passionnés des meurtriers en série y trouveront bien entendu leurs comptes mais le néophyte, avide de sensations fortes, ne sera pas indifférent à ce numéro fort intéressant.
- Certes, toutes les illustrations sont en noir et blanc, mais certaines sont tout bonnement excellentes.
- Une couverture plutôt curieuse mais fort efficace.
- Il faut reconnaitre que le sujet en lui-même, les meurtriers en série, n’est pas le plus original qui soit.
- Le public moderne risque d’être totalement allergique à ce genre de revues d’un autre age avec leurs tonnes de texte et leurs illustrations en noir et blanc. Dommage, certes, mais bon, les gouts et les couleurs.
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