The Last of Us
The
Last of Us
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septembre 2013. Joel est un jeune homme d’environ 30 ans vivant avec sa fille
Sarah dans la ville d’Austin. Le jour de son anniversaire, une infection du
champignon cordyceps apparaît et contamine peu à peu la population. Les
journaux annoncent une augmentation des admissions de 300 % dans les hôpitaux.
Il décide de s’enfuir alors avec sa fille et son frère Tommy mais se font
rattraper par l’armée qui tente d’abattre toute personne suspectée d’être
porteuse du champignon. Sarah est abattue d’une balle et meurt dans les bras de
son père. L’infection finit par devenir une pandémie qui dévaste l’humanité et
a contraint les habitants restants à fuir dans des camps militaires sous
quarantaine placés sous loi martiale. Été 2033. Les villes sont désormais abandonnées
et la nature a repris le dessus. Infectés et bandits rôdent dehors, et les
rares zones sécurisées sont sous le contrôle de l’armée ou des Lucioles. Joel
est désormais âgé d’environ 50 ans et vit dans une zone militaire de la ville
de Boston. Il fait du trafic d’armes et de tickets de nourriture sur le marché
noir en compagnie de Tess, sa coéquipière. La dernière transaction ne s’étant
pas faite correctement avec un dénommé Robert, ils le poursuivent jusqu’au
repaire de sa bande, mais découvrent qu’il a revendu les armes au groupe des
Lucioles. Ils tuent ensuite Robert et tombent plus tard sur Marlene, chef des
Lucioles, qui leur propose de leur rendre leur marchandise en échange de livrer
un colis à un autre groupe de Lucioles, dans la partie non-surveillée de
Boston, au Massachusetts State House. Le colis en question n’est autre
qu’Ellie, une jeune orpheline de 14 ans.
The Last of Us
Éditeur
: SCE
Développeur
: Naughty
Dog
Concepteur
: Neil
Druckmann, Bruce Straley
Date
de sortie : 14 juin 2013
Pays
d’origine : Etats-Unis
Genre
: Action-Aventure,
Survival Horror
Mode
de jeu : Un joueur, Multi-joueurs
Média : Blu-ray
Contrôle : Manette
Plate-forme
: PS3
Mon
avis : Selon moi, The Last
of Us aura été sans nul doute l’un des jeux les plus marquants de la décennie
écoulée, car comme tout amateur vidéoludique le sait bien depuis la sortie de
ce jeu il y a de cela neuf ans, la petite pépite de Naughty Dog –
voir aussi la saga Uncharted –
pour la PS3, The Last of Us, fut considérée comme étant
ce que l’on appelle tout simplement un chef d’œuvre. Bien sur, au cours de ma
vie et des très nombreux softs auquel j’ai eu le plaisir de jouer, j’en ai
préféré d’autres, de même, je ne vais pas vous mentir : si certains jeux
ont put changer ma vie, ce ne sera pas le cas de The Last of Us, et
en disant cela, je ne souhaite en aucune façon le dénigrer… Mais en dehors de
cela, en dehors, finalement, de ce qui reste une simple affaire de gouts
personnels, comment ne pas reconnaitre que oui, ici, ce Survival Horror – terme
pourtant réducteur au vu de la profondeur du jeu – est une pure merveille,
quelque chose d’énorme, un sacré monument qui rapproche encore plus les jeux vidéos
du Septième Art. Après tout, dans The Last of Us, comment ne pas
avoir l’impression, à de multiples reprises, de jouer a un film interactif, et
ce, sans les défauts du genre, comment ne pas s’attacher a ce duo improbable,
peu original, certes, mais terriblement efficace, ce vieux baroudeur sur le
retour qui ne crois plus en rien et cette gamine débrouillarde qui porte malgré
elle tous les espoirs de l’humanité… Car les choses vont mal : suite a une
contamination par un champignon parasite, la civilisation s’est effondrée, des
mutés errent un peu partout sur la planète tandis que les rares survivants
essaient tant bien que mal de survivre d’une éventuelle contamination mais
aussi, de leurs congénères. Contexte post-apocalyptique original, personnages
charismatiques, formidable road-movie riche en scènes fortes, savant mélange
des genres où l’action n’est jamais bien loin, bande son assez mélancolique et
inoubliable, ici, tout est parfait, ou presque, et ce, de bout en bout. Alors
bien sur, il y aurait de quoi dire sur un certain manque d’originalité du coté
des énigmes ou sur certaines scènes d’actions un peu ardues, mais bon, en
dehors de ce qui n’est au final que des détails, comment ne pas reconnaitre
qu’en jouant a The Last of Us, vous vivrez une fort belle
expérience vidéoludique, une de celle que l’on n’oublie pas de sitôt !? Et
encore, ce n’était qu’un début puisqu’une suite, sur PS4, allait définitivement mettre tout le monde d’accord, mais bon,
ceci est, naturellement, une autre histoire…
Points
Positifs :
- Alors
oui nous sommes sur PS3 et depuis il y a eu la PS4 puis
la PS5 qui sont sortis dans le commerce, cependant, d’un point de vu personnel,
à l’époque, The Last of Us avait été le plus beau jeu auquel
il m’a été donné de jouer, tout simplement !
-
Un contexte post-apocalyptique qui pourrait sentir le réchauffé mais qui n’en
fonctionne pas moins, surtout que, les causes de cette chute de la civilisation
humaine – un champignon parasite qui transforme les humains en des espèces de
mutants – est plutôt original.
-
Les deux protagonistes principaux, Joel et Ellie, sont entrés immédiatement au
panthéon des plus belles réussites vidéoludique ; étant père, je me suis
bien entendu identifier au premier (et parfaitement compris la fin), quant a
Ellie, elle est assez attachante finalement.
-
Un jeu magnifique, une facilité de prise en main, très peu de bugs voir pas du
tout, une bande son mélancolique mais magnifique, un caractère-design des mutés
franchement bon, des effets de lumière, par moments, a en tomber par terre, des
scènes inoubliables ; bref, tout, ou presque, est à louer dans ce soft.
-
Je pourrais en rajouter des tonnes mais cela ne servirait pas a grand-chose,
cependant, je tenais à revenir sur la fin : prévisible quand elle
survient, mais tellement compréhensible et, personnellement, j’aurai agis de la
même façon que Joel.
Points
Négatifs :
-
Une fois arrivé vers le premier tiers du jeu et que l’on s’est taper un bon
paquet d’énigmes, grosso modo, toutes celles qui suivront seront quasiment
identiques ; du coup, a force de nager en poussant une palette, a force de
porter des échelles ou de faire la courte échelle a Ellie, au bout d’un moment,
cela devient lassant…
-
Certains passages sont ardus lors des scènes d’actions, mais bon, étant une
bille, cela doit surement venir de moi !?
Ma
note : 9/10
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